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sainbiosis

23 octobre 2018

Muhammara

muhammara

Une nouvelle tartinade est épinglée à mon tableau de chasse : le muhammara ! La voyant fleurir sur les internets et n'en ayant jamais trouvé sur les cartes des restos libanais que j'ai fréquentés, il ne me restait plus qu'à la réaliser moi-même pour pouvoir y goûter, mais il me manquait un ingrédient essentiel : la mélasse de grenade. Point de mélasse de grenade dans les magasins bio du coin, point d'épicerie orientale dans ma (toute relative) campagne. Une amie qui déménageait et vidait ses placards m'a offert sa bouteille (cadeau qui ne m'a pas consolée de son départ cependant). Si vous n'en trouvez pas, allez voir les variantes à la recette que je vous propose pour des possibilités de substitution.

Cette tartinade, originaire de Syrie et qui s'est ensuite diffusée au Moyen-Orient, est à base de poivrons rouges rôtis, de noix, d'huile d'olive et de mélasse de grenade, et a une saveur très particulière. Douce (grâce aux poivrons rôtis), légèrement fruitée et acide (grâce à la mélasse de grenade) et discrètement amère (grâce aux noix), cette tartinade est vraiment unique.

Comme pour la plupart des recettes traditionnelles, il en existe de nombreuses versions, et notamment certaines avec du pain et d'autres sans. Le pain permet d'absorber le jus des poivrons et de donner une texture différente. Je voulais essayer une version sans et c'est donc celle que je vous livre plus bas. Vous trouverez néanmoins dans les variantes toutes les infos pour des versions avec.

Le muhammara se sert habituellement avec du pain pita ou du lavash, mais il sera aussi très bien avec un bon pain au levain et des crudités (feuilles de salade, concombre, carotte, chou-fleur, etc.), un fromage végétal comme ici ou , du labneh végétal, ou, éventuellement allongé avec un peu de crème végétale, comme sauce pour des pâtes, du riz, du seitan ou du quinoa.

Les poivrons locaux sont pour quelques jours encore sur les étals. Si vous ne connaissez pas encore le muhammara, j'espère que vous vous laisserez tenter !

Muhammara
(pour 1 bol)

3 poivrons rouges (environ 250 g)
80 g de cerneaux de noix
1/2 cc de graines de cumin
1 cs de mélasse de grenade
2 cs d'huile d'olive
2 cs de jus de citron
1 belle pincée de sel
1 belle pincée (ou plus, selon vos goûts) de piment de Cayenne (ou un piment plus fort si vous aimez)

Pour la déco :

Graines de cumin
Graines de sésame blond complet
Noix concassées
Petites feuilles de basilic

Laver les poivrons, les placer dans un plat allant au four, enfourner et allumer à 180°C. Laisser cuire 30 minutes en retournant à mi-cuisson. Sortir du four et envelopper dans un torchon propre jusqu'à refroidissement.

Placer les noix et le cumin dans un autre plat à four et enfourner jusqu'à ce que le mélange soit odorant (10 minutes environ). Retirer du four.

Éplucher et épépiner les poivrons, les couper en morceaux et les placer dans le bol d'un mixeur avec tous les autres ingrédients. Mixer finement. Vérifier l'assaisonnement et ajuster si besoin. Verser dans un bol et ajouter la déco.

Couvrir et placer au réfrigérateur pour 2 heures au moins, et si possible jusqu'au lendemain, pour laisser les parfums se développer.

Cette tartinade se conserve bien 2 jours au frais, dans un récipient en verre hermétiquement fermé (un pot à confiture par exemple). Elle peut également se congeler, puis se décongeler au réfrigérateur la veille pour le lendemain.

Variantes

  • Si vous ne trouvez pas de mélasse de grenade, la remplacer par 2 cs de jus de citron + 1 belle pincée de sucre complet, ou par la même quantité de vinaigre balsamique ou de crème de balsamique.
  • Remplacer l'huile d'olive par de l'huile de noix ou de la purée de sésame (tahin) blanc.
  • Ajouter 1 cc de paprika fumé si vous aimez.
  • Ajouter 2 cs de concentré de tomate ou une belle tomate rôtie pour renforcer encore les saveurs.
  • Ajouter 1 petite gousse d'ail.
  • Ajouter 3 cs de chapelure ou, pour une version sans gluten, 3 cs de flocons d'avoine certifiés sans gluten.

Les textes et les photos, sauf mention contraire, sont la propriété de sainbiosis et ne sont pas livres de droits.
Toute reproduction de ce blog et de son contenu est interdite sans la permission écrite de sainbiosis.

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5 septembre 2018

Tzatziki aux herbes

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Avant, le tzatziki que je connaissais était un mélange un peu fade de concombre, de yaourt, et de quelques feuilles de menthe ou de persil. Je n'aimais pas trop le concombre, encore moins le yaourt, et pas du tout le persil. Bref, avant, je détestais (cordialement) le tzatziki.

Et puis un jour j'ai redécouvert le concombre, acheté du yaourt de soja puis de coco, et réalisé que le persil plat était bien plus à mon goût que le persil frisé. Alors j'ai commencé à rêver de penser au tzatziki et à réfléchir à la manière dont j'aimerais le préparer pour qu'il me plaise. Mes conclusions ? Plus de vert ! Plus de goût !

tzatziki4 tzatziki5

J'ai donc eu la main lourde sur les herbes que j'avais sous la main : beaucoup de persil et de menthe, de la ciboulette et un peu de la pimprenelle que monsieur sainbiosis avait plantée dans le potager. La pimprenelle est une jolie plante aromatique dont les feuilles ont une délicate saveur de concombre. Parfaite pour mon tzatziki ! De la coriandre, de l'aneth et/ou du basilic iraient tout aussi bien.

Pour relever un peu plus mon tzatziki, j'ai opté pour du citron -zeste et jus-, une bonne huile d'olive et une belle gousse d'ail. Depuis quelque temps, je laisse l'ail écrasé/découpé à l'air libre pendant une demi-heure avant de l'utiliser. J'ai découvert que ce simple procédé permet la synthèse de sa principale substance active, l'allicine, composé sulfuré responsable de son odeur caractéristique. L'allicine s'associerait à d'autres substances présentes dans l'ail (vitamines A, B, C et E, flavonoïdes et anthocyanines, entre autres) pour lui donner de précieuses propriétés cardioprotectrices, immunostimulantes et antimicrobiennes. Ainsi, l'ail est un allié du quotidien, un superaliment local et bon marché.

tzatziki2 tzatziki3

Avec cette recette, attendez-vous à une explosion de saveurs en bouche. Ce tzatziki coche toutes mes cases : savoureux et relevé, fondant et croquant, frais et doux tout à la fois. Il peut se servir accompagné de pain (pita ou autre, grillé ou non), d'une salade, de légumes crus à tremper (chou-fleur, carotte, poivron ou même concombre pour les monomaniaques), mais il peut tout aussi bien être dégusté seul, comme une salade, en entrée par exemple.

Tzatziki aux herbes
(pour 1 petit saladier, 4 à 6 personnes)

1 concombre
1 belle gousse d'ail
400 g de yaourt de soja
1 bouquet de persil moyen
1 bouquet de menthe moyen
3 branches de pimprenelle
12 belles tiges de ciboulette
3 cs d'huile d'olive vierge de première pression à froid
1/2 citron (zeste et jus)
1/4 cc de sel de mer gris
1/4 cc de poivre noir

Râper le concombre (avec une râpe à gros trous), le placer dans une fine passoire au-dessus d'un bol et le laisser dégorger 45 minutes.

Éplucher, laver et couper l'ail en tout petits dés. Le laisser à l'air libre 30 minutes.

Pendant ce temps, placer le yaourt dans le saladier de service. Laver les herbes, prélever les feuilles de persil, de menthe et de pimprenelle et les hacher finement (je les mets dans un verre et je travaille aux ciseaux, c'est simple et efficace), ciseler la ciboulette. Les mélanger au yaourt avec l'huile d'olive, le citron, le sel et le poivre.

Presser le concombre pour éliminer le maximum d'eau (vous pourrez boire cette eau rafraîchissante telle quelle ou l'ajouter à un smoothie ou à une soupe) et l'ajouter au yaourt aux herbes ainsi que l'ail. Mélanger et servir immédiatement.

Note : si vous voulez préparer ce tzatziki en avance, ajouter le concombre au dernier moment pour éviter qu'il ne rende de l'eau.

Variantes

  • Plutôt que de le râper, couper le concombre en tout petits dés.
  • Remplacer le yaourt de soja par du yaourt de coco.
  • Égoutter le yaourt de soja pour une texture encore plus crémeuse.
  • Ajouter de l'aneth, du basilic et/ou de la coriandre si vous en avez.
  • Ajouter des graines germées pour encore plus de croquant (et de nutriments !).
  • Pour un petit goût anisé, ajouter un petit bulbe de fenouil coupé en tout petits dés.

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29 août 2018

Soupe froide de mirabelles au citron et à la verveine citronnelle

soupe mirabelle1

Je me dépêche de partager avec vous cette recette de soupe de mirabelles que nous avons adorée, avant que la saison si courte (et si précoce cette année) de ce petit fruit ne soit derrière nous.

Mon beau-frère nous a envoyé un colis de près de dix kilos de mirabelles (merci encore à lui !), alors après avoir refait la confiture de mirabelles au gingembre en y ajoutant cette fois le zeste du citron (une tuerie) (si vous aimez la confiture et que vous n'avez pas encore essayé celle-ci, je vous en conjure, faites-la !), il a fallu trouver d'autres façons de les utiliser (en dehors de s'en goinfrer toute la journée sans aucune préparation, miam !).

soupe mirabelle2 soupe mirabelle3

De mes réflexions est née cette soupe délicatement parfumée à la verveine citronnelle (dont nous avons un magnifique pied au potager pour mon plus grand bonheur) et au citron.  Elle se prépare très facilement et très rapidement, et une fois refroidie elle se congèle très bien et donnera un petit goût de fin d'été à votre hiver.

J'espère que vous l'essayerez.

Et vous, comment avez-vous cuisiné les mirabelles cette année ?

Soupe froide de mirabelles au citron et à la verveine citronnelle
(pour 4 à 6 personnes)

1 citron bio
150 g de sucre blond de canne
1 kg de mirabelles
1 belle branche de verveine citronnelle

Laver le citron et le couper en fines tranches. Placer le citron et le sucre dans une cocotte moyenne en fonte ou dans une casserole à fond épais. Ajouter 50 cl d'eau et placer sur feu moyen. Une fois à ébullition, baisser sur feu doux et laisser frémir 15 minutes.

Pendant ce temps, équeuter, laver et égoutter les mirabelles. Laver et égoutter la verveine citronnelle. Les ajouter dans le sirop pour trois minutes de cuisson, toujours à feu doux. Si les mirabelles ne sont pas entièrement recouvertes de sirop, remuer doucement avec une cuillère en bois.

Retirer rapidement les mirabelles avec une écumoire (pour éviter qu'elles ne continuent à cuire dans le sirop) et les placer dans un petit saladier. Laisser refroidir sirop et mirabelles séparément, puis les réunir avant de placer au frais, couvert, pour au moins 2 heures.

Déguster bien frais.

Variantes

  • Remplacer le citron par une orange.
  • Remplacer le sucre blond par du sucre complet (mais dans ce cas le résultat sera plus sombre) en plus petite quantité (100 g devraient suffire).
  • Replacer la verveine citronnelle par du basilic ou de la menthe.
  • Remplacer les mirabelles par d'autres variétés de prunes, des pommes, des poires, des pêches ou des abricots.
  • Cette soupe peut aussi se déguster chaude, juste après la fin de la cuisson, ou tiède, après avoir laisser légèrement refroidir sirop et mirabelles. 

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8 juillet 2018

Salade de tomate, pêche et amande, sauce thaïlandaise

salade tomate pêche thaï1

Je ne sais pas vous, mais moi, quand il fait chaud, je pourrais me nourrir presque exclusivement de salades rafraîchissantes (et de carrés de chocolat noir). Ça tombe bien, puisqu'il n'est pas question d'allumer le four ni de passer des heures en cuisine. Je compte donc passer les deux prochains mois à manger des variations sur un même thème, même s'il n'est pas exclu que je pousse la folie jusqu'à allumer le gaz une ou deux fois pour préparer des salades de pâtes à emporter en pique-nique pendant les vacances.

La salade de tomate à la très bonne huile d'olive, c'est super chouette, mais pour varier les plaisirs je vous propose aujourd'hui de laisser tomber l'huile d'olive, d'agrémenter la tomate de pêche, parce que la tomate et les fruits sucrés s'entendent très bien, d'amandes, parce qu'entre la pêche et l'amande c'est l'amour fou, et d'une sauce thaï sucrée-salée. Cette dernière fera par ailleurs merveille sur toute autre salade estivale toute simple (je prévois de l'essayer rapidement sur des tranches de courgette et d'aubergine préalablement grillées au barbecue puis refroidies).

Bon été et bonnes salades !

salade tomate pêche thaï2 salade tomate pêche thaï3

Salade de tomate, pêche et amande, sauce thaïlandaise
(pour 2 personnes)

12 amandes
2 belles tomates
2 pêches jaunes bien mûres
2 cc de graines de sésame blond grillées

Pour la sauce thaï :

2 cc de vinaigre de riz complet
2 cc de tamari
2 cc de sirop d'agave
2 cs d'huile de sésame grillé
1 belle pincée d'ail en poudre

12 heures à l'avance, mettre les amandes dans un bol et couvrir d'eau (filtrée si possible). Laisser tremper à température ambiante.

12 heures plus tard, rincer et égoutter les amandes. Les couper en fines tranches.

Laver et couper les tomates et les pêches. Les placer dans un saladier avec les amandes, ou disposer directement dans les assiettes de service. Saupoudrer de graines de sésame.

Mélanger les ingrédients de la sauce, verser sur la salade et servir aussitôt.

Variantes

  • Remplacer les pêches par des nectarines, des brugnons ou des abricots.
  • Remplacer le vinaigre de riz par du jus de citron vert.
  • Remplacer le sirop d'agave par du sirop d'érable ou du sucre complet.
  • Remplacer l'ail en poudre par une petite gousse d'ail finement émincée.
  • Ajouter des feuilles de menthe, de coriandre ou de basilic thaï.

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1 mai 2018

Salade d'orange à la cannelle

salade orange cannelle

En attendant que les fruits d'été fassent leur apparition, nous nous régalons encore d'oranges bien juteuses. Nous les dégustons le plus souvent nature, mais récemment j'ai commencé à les préparer en salade en ajoutant de la cannelle, une sublime association aux accents d'Afrique du Nord.

La douceur de la cannelle contrebalance à merveille l'acidité de l'orange, le résultat est frais comme une journée de printemps. Alors, plus qu'une recette, voici une association qui enchantera vos papilles à la fin d'un repas un peu copieux, au petit déjeuner ou au goûter.

C'est la version la plus simple que nous préférons, mais jetez un oeil aux variantes si vous cherchez un dessert un peu plus élaboré, ou alors ici.

Salade d'orange à la cannelle
(pour 4 personnes)

8 oranges
1 cc à 1 cs de cannelle en poudre (si possible, utilisez de la cannelle en bâton que vous râperez finement)

Peler les oranges à vif et détacher les suprêmes (vous pouvez visionner la vidéo "Préparer une orange" du site Marmiton pour savoir comment vous y prendre). Récupérer le jus en pressant la chair accrochée à la peau et à la membrane blanche.

Placer au fur et à mesure les suprêmes et le jus dans un petit saladier, saupoudrer de cannelle et placer au frais jusqu'au moment de servir.

Variantes

  • Plutôt que de prélever les suprêmes, couper les oranges en rondelles après les avoir pelées à vif.
  • Ajouter 1 cs d'eau de fleur d'oranger.
  • Ajouter 1 pincée de gingembre ou de vanille pour un mélange de saveurs plus complexe.
  • Ajouter 1 abricot sec ou 1 datte coupés en tout petits dés.
  • Ajouter des arilles de grenade.
  • Si vous êtes plutôt bec sucré et/ou que vos oranges sont plutôt acides, ajouter un peu de sucre complet ou préparer un sirop avec le jus d'orange et les épices.

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3 mars 2018

Velouté de pois cassés, carotte, gingembre et miso blanc

velouté pois cassé carotte gingembre shiro miso

Ombres et lumière d'hiver

Pendant les longs mois d'hibernation, je prépare tous les week-ends une soupe en grande quantité qui nous permettra de tenir plusieurs soirs de la semaine à venir (n'hésitez pas à diviser les quantités par deux si vous n'avez pas au moins deux enfants en pleine croissance à la maison !). Ce dimanche-là, c'est sur les pois cassés que j'ai jeté mon dévolu. Je n'en avais pas préparé depuis une éternité et monsieur sainbiosis m'en réclamait depuis plusieurs années semaines. J'avais des carottes sous la main, du gingembre me tendait les bras. Il n'en fallait pas plus pour me faire penser au miso blanc que j'aime tant et qui transforme n'importe quelle soupe basique en un plat extraordinaire. Donc, surtout, ne faites pas l'impasse : c'est lui qui donne toute sa magie à ce velouté.

Je vous souhaite une belle fin de semaine et m'en retourne sous mon plaid avec ma tasse de tisane bien chaude et ma tablette de chocolat noir.

Velouté de pois cassés, carotte, gingembre et miso blanc
(pour 12 personnes)

500 g de pois cassés
1 feuille de laurier
1 morceau d'algue kombu
1 oignon jaune
3 gousses d'ail
500 g de carottes
1 doigt de gingembre
1 cs d'huile de coco
1 l de lait de riz (ou plus selon la consistance désirée)
3 belles cs de miso blanc (shiro miso)
1 cc de sel de mer gris (facultatif)

Pour servir :

Yaourt de coco ou de soja
Petites pousses (ici alfalfa et roquette)
Graines de sésame blond complet

Faire tremper les pois cassés dans un saladier d'eau (filtrée si possible) pendant 1 heure. Égoutter et rincer puis placer dans une casserole avec le laurier et l'algue kombu, couvrir d'eau (toujours filtrée), porter à ébullition puis laisser cuire à feu doux 1 heure. Retirer le laurier et l'algue kombu, égoutter et réserver.

Éplucher, laver et émincer l'oignon et l'ail. Brosser les carottes sous l'eau claire (les éplucher si elles ne sont pas bio). Les couper en rondelles. Éplucher le gingembre, le laver et le couper en fines lamelles.

Dans une casserole à fond épais sur feu moyen, faire revenir l'oignon dans l'huile de coco jusqu'à ce qu'il soit translucide. Ajouter l'ail, les carottes, et le gingembre et faire revenir 2-3 minutes. Ajouter les pois cassés et le lait de riz, porter à ébullition puis laisser à feu doux 15 minutes.

Ajouter le miso blanc et mixer au mixeur plongeur ou au blender. Saler au goût. Ajouter plus de lait de riz selon la consistance désirée.

Servir avec le yaourt, les petites pousses et les graines de sésame.

Variantes

  • Remplacer les pois cassés par des lentilles vertes ou corail.
  • Remplacer tout ou partie des carottes par des panais ou du céleri.
  • Remplacer le gingembre frais par 1 cs rase de gingembre en poudre.
  • Remplacer le lait de riz par un autre lait végétal au choix (du lait de coco serait parfait), ou par 1 l de bouillon de légumes et 40 cl de lait de coco, par exemple.

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29 janvier 2018

Cookies aux éclats de fève de cacao {concours inside}

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Je n'ai pas été très inventive en cuisine ces derniers mois. Pas beaucoup de temps, pas beaucoup d'énergie, pas beaucoup d'inspiration, pas beaucoup d'envies. Alors, à la place, j'ai exploré mes livres de cuisine, qui prennent habituellement la poussière sur mes étagères. Je me suis laissée porter par mes auteur.e.s culinaires préféré.e.s, cela m'a fait un bien fou, et nous nous sommes régalé.e.s tout au long des deux dernières saisons.

Alors, quand Natura Sense m'a proposé un partenariat* (encore merci !) pour vous faire gagner un livre de cuisine, j'ai sauté sur l'occasion. Cela a aussi été pour moi l'opportunité de découvrir ce site que je ne connaissais pas, et qui propose un large choix d'extracteurs de jus, de blenders, de déshydrateurs, de livres, etc. Tout ce qu'il faut pour réaliser facilement de bonnes recettes végétales !

cookies fèves cacao6 cookies fèves cacao2

Mon choix s'est porté sur Green, écrit par une de mes blogueuses culinaires préférées, Anya Kassoff, qui tient le blog Golubka Kitchen, que je suis depuis des années. Les magnifiques photos sont l'oeuvre de sa talentueuse fille aînée Masha. Les connaissez-vous ?

Ce blog regorge de recettes de plats plus originaux et colorés les uns que les autres, le plus souvent végétaux et sans gluten, bourrés de légumes et de fruits souvent préparés et associés de façon surprenante et réussie. De vraies petites oeuvres d'art. Ceux du livre ne font pas exception.

Le livre se divise en deux grandes parties. La première  sur le choix d'une alimentation plus saine, les ingrédients, ustensiles et équipements de cuisine, les recettes et techniques de base. Et la seconde avec les recettes : petits déjeuners et collations, plats salés, gâteaux et desserts pour l'heure du thé, recettes à réaliser avec les enfants. Des recettes qui me sortent de ma zone de confort, car elles ne correspondent assurément pas à ma cuisine du quotidien : la plupart nécessitent de nombreux ingrédients, et sont donc plutôt longues à réaliser. Ainsi, c'est un beau livre à réserver au week-end ou aux vacances.

cookies fèves cacao3 cookies fèves cacao4

J'ai longuement hésité sur la recette à vous présenter, mais la gourmandise a fini par dicter son choix : ces cookies aux éclats de fève de cacao, végétaux et sans gluten, légèrement sablés, au bon petit goût de porridge, n'ont pas fait long feu.

Les photos parlent d'elles-mêmes, non ?

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Pour tenter de gagner ce livre, il vous suffit de laisser un commentaire sous ce post, et de partager cette publication si vous le voulez et où vous le voulez. Ce concours est réservé à la France métropolitaine et se termine le 5 février 2018 à 23h59 (et 59s). Le/La gagnant.e sera tiré.e au sort par une petite main innocente. Bonne chance !

Edit du 09/02/2018 : le concours est terminé et c'est MarionD qui remporte le livre. Merci à toutes les participantes !

Et bonne année à tou.te.s !

* Je ne tire de ce partenariat aucun avantage commercial ni aucun revenu. Ce blog étant de toute façon sans vocation commerciale, je n'y parle que de partenaires qui partagent mes valeurs et de produits que nous avons aimés. Tout le contenu et les opinions exprimées sont, comme toujours, les miens.

Cookies aux éclats de fève de cacao
(pour 20 cookies)

225 g de farine de riz complet (pour moi : 150 g de farine de riz complet et 75 g de farine de pois chiche)
70 g de farine de quinoa (pour moi : farine de sarrasin)
30 g de farine de coco
25 g de poudre d'amande
1/4 cc de sel de mer gris
1 cc de poudre à lever sans phosphate
1/2 cc de bicarbonate de soude
3 cs d'huile de coco fondue
12,5 cl de lait d'amande et 12,5 cl de lait de coco entier (pour moi : 25 cl de lait de noisette)
70 g de sucre de coco (pour moi : sucre complet)
1/2 cs d'extrait liquide de vanille (pour moi : 1/2 cc de vanille en poudre)
70 g d'éclats de fèves de cacao (pour moi : des fèves entières légèrement mixées)
40 g de raisins de Corinthe (je n'en avais pas et ne les ai pas remplacés, mais ils doivent apporter une texture intéressante)

Pour la finition :

1 cs de sucre de coco (pour moi : sucre complet)
1 cs de cacao en poudre (pour moi : cru)

Préchauffer le four à 180°C.

Mélanger tous les ingrédients dans l'ordre, jusqu'à obtenir une pâte légèrement sableuse. Chemiser la plaque du four de papier cuisson. Avec une cuillère à glace, façonner des demi-sphères de pâte en tassant légèrement la pâte avec les doigts avant de démouler sur la plaque. Enfourner et laisser cuire 20 minutes.

Mélanger le sucre de coco (ou complet) et le cacao en poudre et saupoudrer sur les cookies à l'aide d'une petite passoire ou d'une boule à thé.

Variantes

  • Varier les farines sans gluten en veillant bien à utiliser au moins trois farines différentes pour qu'une saveur ne prenne pas le dessus sur les autres.
  • Remplacer les farines sans gluten par de la farine d'épeautre ou de blé.
  • Remplacer la poudre d'amande par de la poudre de noisette.
  • Varier les laits végétaux en fonction du contenu de vos placards.
  • Remplacer le sucre de coco par du sucre complet comme moi (rapadura ou muscovado)
  • Remplacer les raisins secs par d'autres fruits séchés (canneberges, dés d'abricots ou de figues, physalis, etc.)

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19 septembre 2017

Muffins au sarrasin, à la banane et au sésame

muffins banane sarrasin sésame

A chaque rentrée scolaire, je me demande comment échapper aux biscuits et gâteaux du commerce qui, même en bio, contiennent parfois des ingrédients douteux et sont une source bien trop importante de déchets, recyclables ou non. Comme la grande princesse sainbiosis s'est mis en tête de travailler à la réduction de nos déchets cette année, nous brainstormons ensemble et explorons tous azimuts. Première piste donc : encore plus de fait-maison.

On commence avec ces petits banana breads qui demandent dix minutes tout au plus de préparation. C'est une recette à peine adaptée de celle d'Aurélie, que j'ai faite et refaite ces derniers mois avec toutes les bananes trop mûres qui me tombaient sous la main. Même monsieur sainbiosis, qui n'est pas très gourmand, les a beaucoup appréciés. Il faut dire qu'ils sont légers et peu sucrés, tout à la fois moelleux et fondants, parfaits pour être glissés dans une boîte à goûter ou dans le bento du déjeuner.

Muffins au sarrasin, à la banane et au sésame
(pour 12 muffins)

Ingrédients secs :

125 g de farine de sarrasin
125 g de farine de riz complet
50 g de sucre complet (rapadura)
1 cc rase de bicarbonate de soude
1 cc rase de vanille en poudre

Ingrédients humides :

4 bananes très mûres
10 cl de lait de riz
2 cs de purée de sésame semi-complet (tahin)
1 cs de vinaigre de cidre

1 cc de graines de sésame blond complet

Préchauffer le four à 180°C.

Dans un saladier, mélanger les ingrédients secs. Ajouter les bananes écrasées et les autres ingrédients humides. Mélanger rapidement (inutile que le mélange soit parfaitement homogène) et verser dans des moules à muffins (huilés s'ils ne sont pas en silicone).

Enfourner pour 20 minutes (ou 1 heure si vous optez pour un moule à cake).

Laisser refroidir 5 minutes avant de démouler sur une grille.

Ces muffins se conservent 2-3 jours dans une boîte hermétique à température ambiante, ou jusqu'à une semaine au réfrigérateur.

Variantes

  • Remplacer les farines par de la farine de blé tout simplement, par de la farine d'épeautre, ou par un autre mélange de farines sans gluten (1/2 riz, 1/4 quinoa, 1/4 châtaigne par exemple).
  • Ajouter une poire coupée en dés.
  • Remplacer la vanille par de la cannelle et ajouter une pomme coupée en dés.
  • Remplacer le lait de riz par tout autre lait végétal de votre choix.
  • Remplacer la purée de sésame par de l'huile d'olive comme dans la recette d'origine, ou par de la purée d'amande ou de cajou.

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2 juin 2017

Houmous aux haricots mungo et à l'oseille

houmous oseille mungo

Je passe en coup de vent en ce début de long week-end pour vous présenter un des derniers houmous préparés chez nous, qui a été très apprécié par la grande princesse sainbiosis. Un houmous tout vert, printanier, fort en goût grâce à l'ail et surtout à la saveur piquante et acidulée de l'oseille, dont c'est la pleine saison (dans notre jardin du moins).

Avez-vous l'habitude de cuisiner cette plante herbacée ? Moi, pas tellement. A part des petits flans il y a cinq ans (!) et le classique velouté que je prépare comme celui au cresson, rien à signaler jusqu'à aujourd'hui. Mais ce houmous sera sur ma to-do list printanière toutes les prochaines années, c'est sûr.

oseille1 oseille2

La saveur de l'oseille se rapproche de celle de sa cousine sucrée la rhubarbe. Si vous aimez cette dernière, vous devriez aimer l'oseille ! Comme la rhubarbe (et les épinards d'ailleurs), elle est riche en acide oxalique, qui diminue l'absorption du fer et du calcium. Cependant, comme elle est également riche en vitamine C qui, elle, favorise l'absorption du fer, et que j'ai ajouté plein de sésame riche en calcium, tout cela ne me semble pas dramatique. Et comme en plus elle est pleine d'antioxydants, ne dites jamais non à un petit houmous à l'oseille.

Et vous, que faites-vous avec un beau bouquet d'oseille ?

Bon week-end gourmand !

Houmous aux haricots mungo et à l'oseille
(pour 1 petit saladier)

150 g de haricots mungo (crus)
1 morceau d'algue kombu
1 beau bouquet d'oseille (100 g)
2 cs très bombées de purée de sésame (tahin) semi-complet
2 gousses d'ail
Le jus d'1 citron
1/2 cc de sel de l'Himalaya (ou de mer gris)

Pour la déco :

2 cs d'huile d'olive vierge de première pression à froid
1 cc de graines de sésame blond complet, toastées
Quelques pâquerettes (oui, c'est comestible !)

Faire tremper les haricots mungo dans un grand saladier d'eau (filtrée si possible) pendant 24 heures. Rincer soigneusement et égoutter, puis les placer dans une casserole d'eau froide avec l'algue kombu, porter à petite ébullition et laisser cuire à frémissements pendant 30 minutes.

Pendant la cuisson des haricots mungo, équeuter, laver et égoutter les feuilles d'oseille. Éplucher et laver les gousses d'ail.

Égoutter les haricots mungo et retirer l'algue kombu*.

Placer tous les ingrédients dans le bol d'un mixeur ou d'un blender et mixer finement.

Transvaser dans un grand bol, arroser d'huile d'olive, saupoudrer de graines de sésame, ajouter les pâquerettes et réserver au frais, couvert, jusqu'au moment de servir (au moins 1 heure pour que les saveurs se développent).

* Utilisez-la dans un tartare d'algues, par exemple.

Variantes

  • Remplacer les haricots mungo par des pois chiches ou toute autre légumineuse de votre choix (mais la couleur ne sera pas aussi sympa avec des lentilles corail, pour sûr).
  • Remplacer l'oseille par d'autres feuilles : fanes de radis, de betterave, de carotte ou de navet, épinards, kale, etc.
  • Remplacer la purée de sésame semi-complet par de la purée de sésame blanc.

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13 mai 2017

Sauce bolognaise (aux protéines de soja)

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Ah, la sauce bolognaise, un grand classique désormais en version végétale ! On en trouve à tous les coins de blog, au soja, aux lentilles, aux haricots azuki, aux noix, aux flocons de céréales ou de légumineuses et même aux champignons. Je n'en avais encore jamais fait. Pourtant, nous mangeons des pâtes tous les jeudis soirs, en prévision de la soirée sportive de monsieur sainbiosis. Mais il faut dire que nous sommes fidèles à notre coulis de tomate, ou à un simple filet d'huile d'olive avec un peu d'ail ou de basilic. Je ne regrette pas de m'être lancée car, avec les protéines de soja, le résultat est plutôt bluffant, dixit monsieur sainbiosis (je le crois sur parole car je n'ai plus aucun souvenir gustatif de bolognaise à la viande). Les princesses sainbiosis, elles, en redemandent.

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Les protéines de soja, qu'est-ce que c'est ? Des protéines (oui !) déshydratées, extraites de la farine de soja déshuilée, qui se présentent en petits morceaux comme ici, en gros morceaux, voire en format "steak". Une fois réhydratées avec de l'eau ou un bouillon, leur consistance se rapproche de celle de la viande. Comme elles sont presque deux fois plus riches en protéines que la viande de boeuf, une ration de 50 g par personne est suffisante. A noter que, en dehors des protéines, elles ne présentent pas d'intérêt nutritionnel majeur. Ne les mangez donc pas seules... d'autant que leur goût ne présente pas d'intérêt particulier ! Il faut les cuisiner et bien les assaisonner pour en profiter. La version en petits morceaux est idéale pour remplacer la viande hachée, comme dans la sauce bolognaise.

Dans cette recette, on prépare un soffritto (littéralement, "rissolé"), qui est la base de nombreuses sauces de pâtes italiennes. Il s'agit d'un mélange de carotte, céleri branche et oignon (comme le mirepoix français), éventuellement additionné d'ail, doucement revenu dans de l'huile d'olive (de la meilleure qualité possible) avant d'ajouter la tomate (en coulis ou fraîche, selon la saison) et les autres ingrédients et de laisser mijoter. C'est LE secret de la saveur inoubliable des sauces de pâtes en Italie.

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Les herbes fraîches sont indispensables et apportent de la profondeur aux saveurs de la sauce. Utilisez de l'origan si possible, ou du basilic, du thym, du romarin ou de la marjolaine. J'ai utilisé du thym citron du jardin avec ses jolies fleurs violettes.

Cette sauce se prépare sans problème à l'avance. Elle n'en sera d'ailleurs que meilleure. Il est également possible de la congeler ou d'en faire des bocaux.

Elle se déguste traditionnellement avec des pâtes longues (spaghetti, tagliatelle, fettuccine ou pappardelle), mais personne ne vous en voudra si vous la préférez avec des pâtes courtes (les choisir creuses, comme les penne, les macaroni ou les rigatoni, pour qu'elles absorbent bien la sauce). Les lasagnes à la bolognaise enrichies de sauce béchamel sont également délicieuses, tout comme les légumes farcis à la sauce bolognaise (tomate, courgette, aubergine, oignon).

A déguster avec du parmesan végétal : ici, ici ou ici.

Sauce bolognaise (aux protéines de soja)
(pour 8 personnes environ)

175 g de protéines de soja texturées (PST) (petits morceaux)
6 cs de tamari (sauce soja sans gluten)
4 belles gousses d'ail
2 oignons jaunes
3 branches de céleri
3 carottes moyennes
6 cs d'huile d'olive vierge extra
20 cl de vin rouge (optionnel mais délicieux)
3 feuilles de laurier
1 bouquet d'origan, basilic, thym, romarin ou marjolaine frais (ici, du thym citron)
1 l de passata (coulis de tomate nature, de qualité), voire plus si vous aimez les sauces plutôt liquides et très riches en tomate
1 cc bombée de sucre complet (rapadura)
Poivre noir ou cinq-baies fraîchement moulus, au goût

Verser les PST dans un petit saladier, ajouter 40 cl d'eau bouillante et le tamari. Mettre un couvercle et laisser reposer le temps de préparer les légumes (au moins 1/4 d'heure).

Préparer le soffritto : éplucher et laver l'ail et l'oignon. Laver le céleri et les carottes (éplucher les carottes si elles ne sont pas bio). Détailler tous les légumes en petits dés (pour gagner du temps, passer tous les légumes au mixeur à lame en S). Faire chauffer l'huile d'olive sur feu doux dans une grande sauteuse. Ajouter tous les légumes et faire revenir 10 minutes en remuant régulièrement.

Ajouter le vin rouge, mélanger et laisser mijoter jusqu'à évaporation.

Ajouter les PST, laisser cuire 2-3 minutes en remuant régulièrement.

Laver le laurier et les herbes fraîches, les ajouter à la sauteuse ainsi que tous les autres ingrédients, mélanger et laisser mijoter 30 minutes à découvert en remuant de temps en temps. Ajouter un peu d'eau si nécessaire.

Retirer le laurier et servir bien chaud avec les pâtes et/ou légumes de votre choix.

Variantes

  • Si vous divisez les quantités par deux, il faudra diminuer le temps de cuisson du soffritto à 5 minutes.
  • Varier les légumes du soffritto selon les saisons, et tant pis s'il n'est plus très orthodoxe ! Oignon nouveau, poivron, feuilles de céleri, poireau, fenouil, etc.
  • Remplacer les PST par du tofu émietté, des lentilles, des haricots azuki, des noix, des flocons de céréales ou de légumineuses, des champignons, etc.
  • Remplacer le coulis de tomate par des tomates entières en conserve ou des tomates bien mûres en saison.
  • Il est possible de préparer cette sauce sans ail.

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